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Ventana abierta, open world - Page 24

  • Presqu'un an et demi déjà...

    Comme le temps a passé depuis cette fabuleuse journée de juin, où Sof' et Méd' se sont dits "oui" !

    Quelle belle fiesta nous avons eu là ! C'est mon ami photographe Nicolas Onen, avec qui nous avons co-écrit le livre "Cameroun, au coeur du pays bassa", qui a réalisé les magnifiques clichés de cette journée.

    Je n'avais pas encore vu passer les photos, et comme les voilà, je ne résiste pas au plaisir d'en partager 2-3 avec vous.

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    Pour retrouver toutes les photos de Nicolas, rendez-vous sur son site Imagin'ailleurs.

  • Des chevaux et des hommes... Hippodrome de Palermo

    Samedi dernier, c'était la fête du cheval à Buenos Aires !

    L'hippodrome de Palermo était plein comme un oeuf, à l'occasion du Gran Premio Nacional. 17 courses d'affilée, des parieurs en furie, des millions de pesos qui coulaient comme de l'eau de source... Et au final, un grand gagnant : Cooptado !

    Voici quelques photos, et pour en savoir plus, un petit tour du côté des Chroniques de Buenos Aires !

     

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  • Montevideo, Buenos Aires... Mendoza ?

    … J’ai mis un peu de temps, mais voici le dernier épisode de nos vacances !

     

    avec Mymy palacio Duhau.JPG

    Dans le bus de retour, les paysages défilent et nous ne tardons pas à nous endormir. 5h de route pour faire 300 kms, le temps passe lentement ! Enfin, Montevideo est là sous un coucher de soleil orange-violet, résolument à se damner. Nous avons réservé dans le même B&B qu’à notre arrivée et retrouvons ainsi Carla et ses charmants « corazones », un peu fêlés ! Dans la foulée, nous devons partir dîner avec Julie, une Française avec qui Mymy a sympathisé dans l’avion 2 semaines plus tôt. Mais au moment de chercher des infos sur mon tout nouveau smartphone (1 semaine d’âge), ô drame, consternation… le smartphone n’est plus dans mon sac, rhhhhoooo !

    Je retourne toutes mes affaires, mais non rien n’y fait, rien qui ressemble à un téléphone. Nous appelons tout de suite la compagnie de bus, qui nous affirme n’avoir rien trouvé au terminal. La poisse… Il a dû glisser hors de mon sac lors du trajet et quelqu’un a dû s’en emparer (enfin, c’est une hypothèse !).

    Eh ben tant pis, adieu smartphone !! Nous retrouvons finalement Julie qui nous raconte son histoire d’amour compliquée avec un artiste de rue uruguayen… L’amour conduit à 1000 « folies ».

    Une dernière nuit sur le toit de « Una noche mas » et à 6h15 le lendemain matin, réveil pour filer au terminal de Tres Cruces. Encore un bus, encore un bateau (nous rencontrons un sympathique Raul, en train de se former en trading du vin : il vient nous demander la prononciation de plusieurs grands crus français !)… et revoilà Buenos Aires !

    Une dernière après-midi de shopping, suivie d’une soirée cocktails au Rey de Copas, et la nuit tombe sur Buenos Aires.

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    Le lendemain, Mymy prépare ses bagages… et à midi, nous filons pour un dernier déj avec Manue à las Cabras. Les deux semaines ont passé si vite, des émotions en pagaille, des rencontres farfelues, d’autres pleines de lumière, des discussions sans fin ! (le plaisir de la discussion), des moments forts tout simplement !

    Mymy, un jour Mendoza entonces ? ;-)



  • Vacances en Uruguay, avant-dernier jour

    Dernière matinée, plein soleil à Valizas. Nous petit-déjeunons dans le jardin avec Cecilia, l’occasion encore de se raconter 1000 anecdotes, d’échanger sur la vie et tout ce qui s’en suit. Quelle belle rencontre ! Nous paressons longtemps, avant de prendre le chemin de la plage, pour dire au revoir au guri.

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    En recherchant sa hutte, nous tombons sur une Française, installée là, dans ce bout du monde. Peut-être une descendante d’Etienne Moreau ?

    C’est Mauricio, qui nous a parlé de ce pirate français, qui selon ses dires serait à l’origine de Valizas. L’homme en tout cas était un vrai aventurier ! En 1717, il est à la tête d’une flotte de 4 bateaux et gère la contrebande du cuir sur la côte uruguayenne ; c’est grâce aux contacts qu’il a établis avec les Indiens Guenoas (il leur aurait appris le français), que son « négoce » prospère. Chassé une première fois par Zabala, fondateur de Montevideo, il est de retour en 1719. Cette fois, c’en est trop, Zabala décide d’organiser une vraie chasse à l’homme et en 1720, Etienne Moreau est finalement abattu…

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    Descendante ou pas, c’est amusant de trouver une Française établie dans ce bout du monde… Sa maison est sur la plage, face à l’océan. Goût d’immensité.

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    Avec Mymy, nous restons encore un peu sur la plage, à regarder les vagues… puis peu à peu l’heure du départ approche. Nous rentrons faire nos valises, nos adieux à Cécilia (nous nous reverrons ! La route du vin à Mendoza est inscrite sur nos tablettes !!), achetons nos dernières empanadas, et c’est parti à 15h, Adios Valizas ! Parfois en vacances, il faut savoir s’arrêter dans un lieu comme béni des dieux, le temps n’a pas d’importance. Ecouter sa respiration, s’ouvrir… Vivre le présent, nada mas.

     

     

  • Cabo Polonio - Valizas, le retour en pente douce... épisode 7

     Plage Cabo Polonio.JPGÀ peine sorties du phare, nous avons hâté le pas pour être sûres de ne pas rater le dernier « camion russe » prévu à 18h. On se demandait bien ce que pouvait être cet engin, un tank peut-être ? Une machine amphibie ? En tout cas, c’est par ce seul moyen de locomotion exotique que l’on peut atteindre le terminal de bus de Cabo Polonio, et de là regagner paisiblement Valizas.

    Au final, le camion russe en question est une sorte de 4*4, qui permet de circuler facilement sur la plage et dans les chemins ensablées qui mènent de Cabo Polonio à la route principale (ce serait apparemment un ancien camion d’usage militaire).

    Une dernière fois, voir la mer agitée et le ciel sans repos. Des vaches sont postées non loin, l’herbe au goût d’iode est-elle un mets de choix pour nos amies ruminantes ?

    Quand nous arrivons à la petite gare routière, une dame nous confirme ce que nous savions déjà plus ou moins. Il faut attendre plus d’une heure avant le prochain bus… Il est déjà 18h30, nous n’avons qu’une envie, être à la posada et prendre une douche chaude. Et l’auto-stop ? Ah oui, nous dit-elle, ça peut marcher !

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    Ni une, ni deux, nous partons à l’assaut de la route. Mymy a mal au pied, du coup, l’automobiliste aimable ferait bien de se presser ! À dire vrai, la route est très belle. Après cette journée grise, venteuse, presque sans soleil (mais ô combien intense !), voilà qu’en cette fin de journée, le ciel s’entrouvre. De part et d’autre de la route, des champs verdoyants éclairés soudain par une lumière dorée. Des paysages œuvres d’art.

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    Et peu de voitures !! Nous marchons depuis 20 minutes déjà quand le premier rugissement de moteur se fait entendre au loin. À l’unisson, nous tendons nos 2 pouces, mas la sonrisa que mata. Rien n’y fait. Le véhicule passe en trombe. Boludo, comme on dirait en Argentine !

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    On en rigole quand même, en se disant que notre option rapide est loin d’être un franc succès (en plus, on avait raté le Renault Duster à la sortie de la gare routière, p** le Renault Duster, quoi ;-) On se fait même doubler par un bus (mais ce n’était pas celui de Cabo Polonio)…. Et puis peut-être quelque 20 minutes plus tard, à nouveau un bruit au lointain. Voilà une petite camionnette pick-up qui pointe le bout de son nez. 2 pouces, 1 sourire… et ouiiiiii, ils s’arrêtent. 3 gars sont tassés à l’avant et nous font signe de nous installer à l’arrière. On escalade le véhicule et nous voilà, pliées de rire, transportées comme… du bétail ?!

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    La camionnette nous arrête à l’entrée de la route de Valizas. Il nous reste encore 40 minutes de marche sur le chemin rouge. Le soleil se couche. Nous rentrons en chantant à tue-tête.

    À 20h, la posada Valizas est enfin visible. Nous poussons la porte du jardin et un ouf de soulagement, Cécilia nous accueille à bras ouverts, elle était un peu inquiète pour nous. Après une douche bien chaude et délassante, nous nous faisons une soirée pizza au coin du feu avec notre hôte adorable…

    L’aventure Cabo Polonio s’achève ; douce seulement pourra être la nuit.

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