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Ventana abierta, open world - Page 48

  • En balada à la Boca

    C’est bien connu, rien de tel qu’un visiteur de passage, pour découvrir ou redécouvrir sa ville. En l’occurrence, j’avais des hôtes de marque que vous avez reconnus sur la photo du post précédent : mes parents ! Après avoir franchi l’Atlantique Nord, puis Sud, puis visité les flancs de la Cordillère dans le Nord-Ouest de l’Argentine, ils arrivaient à Buenos Aires

    Au programme, une visite des quartiers historiques de la ville, et tout d’abord l’incontournable bien que devenu un peu cliché, Caminito. Une petite promenade au milieu des façades de tôle chatoyante donnait un aperçu du Buenos Aires portuaire où se dévergondaient les matelots au son du tango. Puisque nous étions là, je retournais avec mes parents au musée Quinquela Martin que les touristes ne visitent que rarement, au contraire des Argentins : le musée était rempli de « visites scolaires » !

    Outre les très belles expos permanentes consacrées à Quinquela, aux figures de proues et aux sculpteurs argentins, il y avait à ce moment-là une expo temporaire présentant une série de photographies intitulée « Boliches » du photographe Adolfo Previdéré.

    Je suis à peu près sûre que personne ne le connaît en France, je ne sais même pas s’il est si connu en Argentine. Et quel dommage ! Cette série de photographies de petits bistros de campagne est d’une sensibilité extrême, à la fois quant à la poésie triste des lieux –la nostalgie des jours passés se lit dans les planchers abîmés, foulés et refoulés, aujourd’hui presque abandonnés-, et aux regards encore si vivants de ces hommes (presque exclusivement) souvent courbatus, vieux habitués du bistrot, venant y chercher encore, toujours, la compagnie des leurs, pour une joute de plus, un instant de partage, quelques insultes sûrement, des silences aussi et quelques rigolades.

    Il faut faire découvrir ce grand photographe !

    Adolfo Previdéré

    Série Boliches, Adolfo PrévidéréAdolfo Prévidéré, Boliches

  • Qui sont ces Argentins typiques ?

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  • Parfois, le ciel s'éclate à Buenos Aires

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    Vue sur le port de la Boca, 4 octobre 2011

  • L'ironie a encore frappé !

     

    Comme chacun sait, j’ai dans la vie deux passions :

    1. Faire la cuisine
    2. Me pomponner

    Eh bien c’est une chance, car notre appartement manquant cruellement de lumière dans le salon, je passe le plus de temps possible dans ces deux pièces essentielles que sont la cuisine et la salle de bain !

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    Il se pourrait ainsi que la prochaine fois que nous nous croisions, je ressemble à ça :

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    Ou à ça :

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    Merci à Liz Taylor et à Maïte pour leur participation ;-)

  • La recette du succès

    Vous vous demandez encore ce qu’il faut pour obtenir un vrai succès ? Un succès non seulement d’un jour mais un succès de toujours ? Ce genre de succès dont on reparle des années après, un de ces moments, une des ces œuvres, qui font vibrer et laisse au cœur des frissons.

    Eh bien, je vais enfin vous le révéler. TOUT, je dis bien TOUT, vient de la coupe de cheveux.
     
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    La preuve irréfutable, je l’ai encore eue hier soir.
    Pour finir ce dimanche ensoleillé, on part siroter un Cinzano à The Oldest, un pub réputé de Caballito. Ambiance irlandaise, pub tout de bois vêtu, lumière tamisée, et bière en veux-tu en-voilà. Quelques écrans plasma sur les murs diffusent des vieux tubes des années 80, INXS, Madonna, Dépêche Mode, Michael Jackson, Europe, et puis qui voilà surgie de derrière les fagots ?

     

     

    Notre merveilleuse, inénarrable , Desireless, qui encore une fois nous emmène en voyage !!!

    La preuve :

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    Sérieusement, se monter une brosse bien raide et bien fournie sur le sommet du crâne, ça permet d’aller très loin !

    Et pour tous les nostalgiques, « Voyage, voyage » peut se réécouter là :


    PS: quand j’étais étudiante en Allemagne déjà, cela m’avait frappe d’entendre régulièrement cette chanson, que j’ai aussi entendue en Inde cet été !