UA-113291451-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

estancia santa catalina

  • A Santa Catalina, encore une fois

    C’est une chance d’avoir des amis comme les nôtres… Nous sommes partis le WE dernier dans la province de Santa Fe, pour passer 4 jours dans l’estancia d’André et Monique, les parents de notre copine Emilie. Nous y avions déjà passé quelques jours il y a un peu plus d’un an.

    Quel plaisir que de retrouver les paysages incroyables du delta du Parana : le calme de l’immense fleuve, le labyrinthe des îles, les oiseaux siffleurs, les arbres fastueux. Passer de Buenos Aires à Santa Catalina, c’est un peu comme découvrir le goût de la gariguette.

    Repas de fête, repos sous les arbres repus, puis glisser sur le fleuve à l’aube pour découvrir les prises dans les filets, plus tard tendre la canne à pêche aux poissons décidément fuyants !, regarder les nénuphars où l’on pourrait dormir et leurs fleurs à la chair tendre, craindre les palometas, piranhas locaux aux dents redoutablement effilées, mais moins que celles du Vampire !

    Que de beaux moments passés autour de la table, cuantas risas !

    Mais oui, nous reviendrons :-)

     

    Dia de pesca1.jpg

    Dia de pesca3.jpg

    Dia de pesca5.jpg

    Dia de pesca7.jpg

    Dia de pesca9.jpg

    Dia de pesca8.jpg

    Dia de pesca 9f.jpg

    mostro 2.JPG

    aperitif!.JPG

    DSCN4353.JPG

    Dia de pesca 9e.jpg

  • Week-end à Santa Fé... ou presque !

     

    Ce WE, j’aurais dû être dans les champs verts de Santa Fé, à 700 kms de Buenos Aires…

    Là, précisément :

     santa catalina estancia santa fé.jpg

     

    Nous avions en effet prévu depuis 2 mois avec mes collègues de partir 3 jours ensemble, dans l’estancia d’une amie.

    Evidemment, c’était sans pouvoir imaginer que précisément le jour de notre départ, allait commencer une grève nationale des bus de longue distance.

    Pas un seul bus (« micro ») depuis jeudi dernier dans tout le pays… sachant que l’Argentine (à l’image de tout le continent) est un pays où les gens se déplacement quasi-exclusivement avec ce moyen de transport. Le réseau ferroviaire argentin, gigantesque à la fin des années 1920, a progressivement été abandonné, et les avions restent réservés aux personnes dont les ressources financières sont plus importantes (les billets d’avion coûtent généralement le double des billets de bus).

    A l’heure actuelle, les médias estiment que 100 000 personnes ont été touchées par la grève.

    Aïe, aïe, aïe…