Tiens je me repose/je laisse la parole à René François, prédicateur du Roy, dans son « Essay des merveilles de nature et des plus nobles artifices/ Pièce très nécessaire à tous ceux qui font profession d’éloquence » (publié à Rouen en 1626, alors que la Renaissance s’en allait…).
« Avoir les vergues hautes, c’est estre prest à faire vie sur mer, les voiles toutes guindées qui n’attendent que le vent. Ysser les voiles & guinder, c’est le mesme, c’est monter, étendre : & carquois & le haut bout du mast, où il y a certains polions propres à tirer la corde attachée à la verge ».
Tout un programme !
Photo Goélette Belle Poule