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tigre

  • L'école des Beaux-Arts à Buenos Aires... en 2 événements mondains !

    La semaine dernière, par le plus grand des hasards, nous avons été invités à deux réceptions dans deux bâtiments symboliques de l’influence architecturale française en Argentine… tous deux construits par les mêmes architectes, Paul Pater et Louis Dubois.

     

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  • Un mois et pas un seul mot

     

    C’est exagéré. C’est à réparer.

    Ce n’était pas vraiment de ma faute, plutôt celle du temps trop occupé à courir

    Et moi dedans !

    Le temps distendu surtout la nuit, où tout se transforme estival

    En bavardage sous-sidéral, en danse d’écrin, en Quilmès en gauche,

    En Stella à droite, le temps d’un monde plus jeune,

    Charlar, j’adore ce mot, qui n’appartient ni à Charles ni à Pablo,

    Le mot des mots qui se bousculent.

    Le temps du soleil de midi, et marcher à travers prés100_2532.JPG

    Sous le regard giratoire de la hulotte bientôt affolée,

    A l’ombre de l’arbre, s’asseoir pour boire un maté,

    Ce qui résonne n’est pas Piazzola, c’est un étendard de la modernité,

    Et encore une fois, si je l’ose, c’est chouette…

    Il y a des vagues puissantes et des jeux et des rires

    Et de la musique à n’en plus finir, rien n’est préjudiciable,

    Il faut garder le visage bien droit dans le vent

    Pour compter un, deux, trois…

    Beaucoup plus d’amants que de coupables.

    Dans les bateaux qui balancent sur le delta, 101_0040.JPG

    On se laisse porter et regarder les dons égarés là

    Une dernière fois marcher sous la voûte des arbres

    S’arrêter un moment et sentir le jazz

    Tant de pas, tant de pas,

    Pas de deux.

    Toujours le temps de l’innocence est trop court.

    Nous sommes lucide incandescence

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