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Un voyage à Rosario, province de Santa Fe (2e partie)

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Après avoir défaçadé la ville et dévisagé ses habitants, j’ai pris le chemin de la maison de Norma et Geraldo, où je retrouvais Josefin. 12 années passées depuis Tübigen ! Nous ne nous étions jamais revues ; je me souviens surtout des fêtes suédoises que Josefin et les autres étudiants suédois organisaient : la fête de la fertilité, la Sainte-Lucie, et puis évidemment, nous avions en commun les innombrables fêtes Erasmus partagées à Fichtenweg, la cité universitaire de Tübingen !

 

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Josefin n’a pas changé d’un pouce. Elle me présente sa fille, Amanda, et les grands-parents : Norma et Geraldo. Nous passons de très bons moments tous ensemble, avec un provolone grillé, des brochettes de bœuf, des empanadas, une énorme glace, et des discussions sur l’Argentine, le tango (Geraldo est un des plus grands collectionneurs d’Argentine, il anime depuis 30 ans une émission de radio sur le tango), la France (Norma est professeur de français), et quand Josefin et moi partons nous promener seules, nous nous résumons les 12 années passées.

La conversation ne tarit pas jusqu’au lendemain, où nous partons nous balader et déjeuner dans le centre-ville de Rosario. Dans la chaleur et sous un ciel toujours aussi bleu, nous déambulons sur Oroño, le grand boulevard de la ville. C’est vraiment un chouette moment que de se retrouver ainsi, en effaçant d’un seul coup de balai la distance du temps passé.

 

 



DSCN8931.JPGL’après-midi avance et je dois bientôt reprendre le bus pour Buenos Aires. Je remercie encore 1000 fois Norma et Gerardo pour leur adorable accueil, un grand abrazo à Josefin. On se donne rendez-vous une prochaine fois à Paris ou en Suède.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Sur la route du retour, je souris car enfin je vois des vaches.

 

 Le soleil est en feu.

Quand j’arrive à Buenos Aires, il fait nuit noire. Je prends le taxi et peste sur le tarif (il y a deux semaines les prix ont augmenté de 26%, décision du gouvernement de la municipalité. Sacré Macri…)

Je retrouve avec joie mon petit homme, à peine entrevu depuis une semaine. Retour au quotidien, désordre, douceur et recherche d’emploi !

 

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